Dans le monde des faits divers, il n’y a pas de place pour l’humain.
C’est pour cette raison que nous pouvons nous passionner pour eux sans être tout à fait des monstres, souligne l’historienne Mara Goyet dans Sous le charme du fait divers. La souffrance des victimes ou la motivation des auteurs, leur humanité en somme, importent moins que la fenêtre ouverte sur un monde qui ressemble au nôtre tout en obéissant à des lois différentes.
La mort du petit Grégory qui tient en haleine les Français depuis 1984 a connu cette semaine de nouveaux rebondissements.
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