Grandeur et décadence

De l’« Homintern » au Komintern

Une des singularités de Guy Burgess, le plus pittoresque de ceux que l’on surnomme « les espions de Cambridge », est que, même complètement dépe­naillé, avec ses costumes froissés couverts de taches de nourriture et son haleine chargée d’ail et d’alcool, il tenait à mettre sa cravate d’ancien d’Eton. Il l’arborait dans les manifestations étudiantes…

Écrit par Ian Buruma le 29 juin 2017