C’est ce qu’affirme l’historien Olivier Forcade dans Militaires en République 1870-1962. Privés de parole et du droit de vote, entre 1872 et 1945, les officiers, sous la IIIe République notamment, trouvaient le moyen de donner leurs opinions, que ce soit dans la presse militaire ou dans des salons et les retraités des armes n’étaient pas avares de commentaires dans les journaux.
Le général Pierre de Villiers, chef d’état major de l’armée, a annoncé sa démission mercredi. Ses propos véhéments contre les décisions budgétaires de l’Elysée avaient fuité dans la presse.
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