La moitié des premiers officiers de protection de l’OFPRA étaient eux-mêmes réfugiés ou apatrides.
L’Office français de protection des réfugiés et apatrides employait alors souvent des notables engagés dans la vie politique de leur pays avant de s’exiler en France. Mais cette proximité entre officier et requérant a été perdue dans la bureaucratisation du service, note le sociologue Alexis Spire, auteur d’Accueillir ou reconduire.
Emmanuel Macron a réitéré l’engagement de la France d’accueillir 10 000 réfugiés dans les deux années à venir, tandis qu’un projet de loi envisage de renvoyer les demandeurs d’asile vers un pays tiers « sûr » sans examen de leurs dossiers.
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