Beckett et Beethoven

« Je n’ai jamais pu me réconcilier avec la Symphonie Pastorale où j’ai l’impression que Beethoven a versé tout ce qu’il y avait de vulgaire, de facile et d’enfantin (et c’était beaucoup) pour en finir avec une fois pour toutes », écrit Samuel Beckett (en français) dans une lettre publiée dans le premier volume de sa correspondance, qui vient de paraître à Londres. Mais dans une autre lettre (en anglais), il évoque avec passion la Septième symphonie, dont le « son de surface… est dévoré par d’énormes pauses noires ».
The Letters of Samuel Beckett. I. 1929-1940, Cambridge University Press, 2009.

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