« F » comme famille de faussaires

Dans son dernier roman, l’écrivain prodige Daniel Kehlmann met en scène une famille d’escrocs et s’interroge sur le destin, la contrefaçon et le mensonge.

Il y a un peu plus de huit ans paraissait Les Arpenteurs du monde (Actes Sud). Depuis, six millions d’exemplaires du livre ont été écoulés, dont près de la moitié outre-Rhin. Ce fut, selon le New York Times, le second roman le plus vendu au monde en 2006. L’auteur, Daniel Kehlmann, devint soudain l’enfant chéri des lettres allemandes et une énorme pression commença de peser sur ses jeunes épaules : arriverait-il à se remettre d’un succès si colossal ? « Chacun de ses nouveaux romans est inéluctablement le plus attendu et le plus commenté de l’année », remarque Adam Soboczynski dans le Zeit. Le dernier en date, F, n’a pas fait mentir le critique : sorti à la rentrée dernière, il a fait l’objet d’une myriade d’articles dans la presse germanophone, et s’est très vite hissé en tête du classement des meilleures ventes publié ...

LE LIVRE
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Les Friedland de « F » comme famille de faussaires, Actes Sud

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