Dans les années 1940, l’Etat espagnol s’emparait des enfants d’opposants.
Avant de soutenir un trafic à grande échelle de « bébés volés », le régime de Franco a entrepris dans les années 1940, de « rééduquer » les enfants de ses opposants politiques en les confiant à de « bonnes » familles. Il publiait chaque année le nombre de petits ainsi « accueillis ». Plusieurs dizaines de milliers, selon l’historien Ricard Vinyes dans Les enfants perdus du franquisme.
Après deux jours d’audience à Madrid, le premier procès des « bébés volés » a été ajourné.
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