Les romanciers britanniques sont fascinés par la chaleur.
Jane Austen aurait été la première à s’intéresser à l’impact d’une forte chaleur sur ses personnages dans Emma, assure le critique britannique John Mullan dans How Novels Work. D’autres suivront, que ce soit en notant l’influence des chaleurs exotiques (l’Afrique ou les Indes pour Conrad, l’Italie pour Forster) ou en soumettant l’Angleterre à la canicule, comme Ian McEwan dans Expiation. L’année 2015 sera probablement la plus chaude jamais constatée, indique ce mercredi un rapport de l’Organisation météorologique mondiale.
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