Les extrémistes islamistes des années 1990 n’auraient jamais envisagé de sacrifier leur vie dans un attentat-suicide.
Islamiste radical devenu agent double, Omar Nasiri souligne dans Au Cœur du Djihad, paru en 2006, que les jeunes partis en Afghanistan s’amusaient alors bien trop pour vouloir se suicider. La pratique, d’ailleurs interdite par le Coran, a été développée et érigée au rang de culte – djihad et attentat-suicide devenant synonymes – par Al-Qaïda.
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