Le viol n’est pas un crime lié au désir sexuel, mais à la violence et au pouvoir.
Dans Against our Will (« Contre notre volonté »), paru en 1975, la journaliste féministe Susan Brownmiller est la première à s’attaquer à certaines idées reçues sur le viol en Amérique. Elle y affirme qu’il n’est pas lié à des pulsions sexuelles incontrôlables et que la sexualité féminine n’invite pas au viol. Elle l’évoque comme un terrorisme de masse ayant pour conséquence le contrôle du comportement des femmes.
Selon une étude de l’Observatoire national de la délinquance, parue le 8 février, une victime de viol sur cinq n’a jamais parlé de son agression.
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