Les fanatiques désignaient, à Rome, les prêtres du culte voué à Bellone, déesse de la guerre.
Ils défilaient en se tailladant bras et cuisses, recueillant le sang dans la paume de la main pour en faire des libations à la déesse. En 1564, Rabelais reprend le terme au sens figuré dans Le Cinquième Livre où il qualifie Bacchus de « phanatique ». Bernard Cazeneuve a appelé, mercredi, les responsables musulmans à lutter contre le « fanatisme ».
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