José Fernandez Arroyo
« Je sens des désirs infinis de l’aimer »
Flensburg, 20 août 1953 ! - Le train filait dans la nuit à grande vitesse. Des gens bizarres partageaient avec moi le compartiment, des gens qui ne parlaient pas et s’endormaient tout à coup en dodelinant de la tête contre le dossier. Les kilomètres s’enfuyaient rapidement dans la nuit. À chaque instant je m’éloignais un…
« Je sens des désirs infinis de l’aimer »
Flensburg, 20 août 1953 ! - Le train filait dans la nuit à grande vitesse. Des gens bizarres partageaient avec moi le compartiment, des gens qui ne parlaient pas et s’endormaient tout à coup en dodelinant de la tête contre le dossier. Les kilomètres s’enfuyaient rapidement dans la nuit. À chaque instant je m’éloignais un…