Le Stephen King chinois

Depuis la parution en 2002 de son premier roman, « Virus », Cai Jun est surnommé le « Stephen King chinois ».

Depuis la parution en 2002 de son premier roman, « Virus », Cai Jun est surnommé le « Stephen King chinois ». Aujourd’hui, celui qui affirme être venu à l’écriture « par hasard » publie « Le meurtre du temps perdu », que les lecteurs s’arrachent en librairie comme sur Internet, rapporte Song Hua sur le site d’information culturel Sina Book.

Et cette fois, note la journaliste, « le maître du thriller a tourné une page. En se détournant de la série qui a fait son succès, “Le village déserté”, il a décidé de se consacrer aux mutations de notre société ». Pour se démarquer des autres auteurs à suspens qui « écrivent des histoires, mais pas de véritables romans », Cai Jun « se focalise à présent sur ses per-sonnages, à l’instar de l’auteur japonais de polars Keigo Higashino ».

LE LIVRE
LE LIVRE

Le meurtre du temps perdu de Le Stephen King chinois, Editions Jieli

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