Jules Laforgue, l’Uruguayen

On l’aurait presque oublié : l’un des précurseurs du vers libre en poésie, Jules Laforgue, était franco-uruguayen. Tout comme ses confrères et amis Isidore Ducasse, alias le comte de Lautréamont, et Jules Supervielle. C’est en grande pompe que Montevideo célébrera cette année le 150e anniversaire de sa naissance. « Les Complaintes, premier recueil de celui qui exerça une influence décisive sur les surréalistes, Ezra Pound et T.S. Eliot, peut-on lire dans le quotidien uruguayen El País, est traduit pour la première fois dans son intégralité en espagnol. L’ouvrage fait même l’objet d’une luxueuse édition bilingue, établie et consciencieusement annotée par l’écrivain Andrés Echevarría ».

LE LIVRE
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Les Complaintes de Jules Laforgue, l’Uruguayen, Flammarion

ARTICLE ISSU DU N°20

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