« Plus infantile que l’Amérique »

Les tribulations d’un jeune compositeur américain venu chercher l’inspiration et la liberté dans le Paris de l’après-guerre.

Encore un artiste américain venu s’épanouir à Paris, mais un compositeur, pour une fois, et dans les années 1950. Ned Rorem, « un des derniers à justifier d’un exil parisien plausible », écrit Alex Ross dans The New Yorker.


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LE LIVRE
LE LIVRE

Journal parisien, 1951-1955 de Ned Rorem, traduit de l’anglais par Renaud Machart et Ana de Carvalho, Éditions du Rocher, 2003

ARTICLE ISSU DU N°111

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