Le dernier mot d’Oliver Sacks

Dans un recueil posthume, le célèbre neurologue britannique, mort en 2015, continue de s’intéresser à ce chef-d’œuvre de la nature qu’est le cerveau humain.

Le neurologue Oliver Sacks était un polygraphe sans frontières, qu’il s’agisse de celles qui séparent les disciplines ou de celles qui divisent les genres. Ses quelque 20 livres balaient un champ qui va de la médecine à l’anthropologie en passant par l’esthétique, la musicologie, l’histoire, l’écologie, la science fondamentale et la philosophie ; et certains de ses ouvrages sont devenus des pièces de théâtre, des films, voire des opéras.
Pourtant, à sa mort, en 2015, Sacks était loin d’avoir tout dit – ni même d’avoir tout publié. Ses éditeurs avaient encore sous le coude une liasse de textes qui témoignent, une ultime fois, de son insatiable curiosité pour la nature et ce qu’il considérait comme son chef-d’œuvre suprême – le cerveau humain.

Sacks a passé sa vie à tenter de percer les mystères de cet organe en explorant, tour à tour en neurologue et en psychologue, les étranges déformations qu’accidents ou maladies lui font subir et les comportements ...

LE LIVRE
LE LIVRE

Chaque chose à sa place. Premières amours et derniers récits de Oliver Sacks, traduit de l’anglais par Christian Cler, Christian Bourgois, 2020

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